La nourriture apparait à notre brigade comme un plaisir
quotidien. Nous cuisinons, combinons, recyclons, créons
avec l’existant. Le besoin vital d’alimenter notre
organisme s’apparente ici à la pulsion instinctive que
notre duo partage en tant que graphistes : une boulimie
des images. Nous transformons ici les vestiges de nos
cuisines en un millefeuille à déballer et à savourer par
le regard. La chimie de nos combinaisons, bien que
maîtrisée, décide des couleurs, des saveurs de nos
compositions graphiques. Cette recette commune invite
à contempler et ainsi à méditer ce que nous consommons.
La plasticité de cette collecte de matières et textures
remâchées est notre ingrédient principal. Les autres ne
sont que quelques lignes de programmation, centilitres
d’encre et grammes
de papier.
La nourriture apparait à notre brigade comme un plaisir
quotidien. Nous cuisinons, combinons, recyclons, créons
avec l’existant. Le besoin vital d’alimenter notre
organisme s’apparente ici à la pulsion instinctive que
notre duo partage en tant que graphistes : une boulimie
des images. Nous transformons ici les vestiges de nos
cuisines en un millefeuille à déballer et à savourer par
le regard. La chimie de nos combinaisons, bien que
maîtrisée, décide des couleurs, des saveurs de nos
compositions graphiques. Cette recette commune invite
à contempler et ainsi à méditer ce que nous consommons.
La plasticité de cette collecte de matières et textures
remâchées est notre ingrédient principal. Les autres ne
sont que quelques lignes de programmation, centilitres
d’encre et grammes
de papier.
La nourriture apparait à notre brigade comme un plaisir
quotidien. Nous cuisinons, combinons, recyclons, créons
avec l’existant. Le besoin vital d’alimenter notre
organisme s’apparente ici à la pulsion instinctive que
notre duo partage en tant que graphistes : une boulimie
des images. Nous transformons ici les vestiges de nos
cuisines en un millefeuille à déballer et à savourer par
le regard. La chimie de nos combinaisons, bien que
maîtrisée, décide des couleurs, des saveurs de nos
compositions graphiques. Cette recette commune invite
à contempler et ainsi à méditer ce que nous consommons.
La plasticité de cette collecte de matières et textures
remâchées est notre ingrédient principal. Les autres ne
sont que quelques lignes de programmation, centilitres
d’encre et grammes
de papier.
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avec l’existant. Le besoin vital d’alimenter notre
organisme s’apparente ici à la pulsion instinctive que
notre duo partage en tant que graphistes : une boulimie
des images. Nous transformons ici les vestiges de nos
cuisines en un millefeuille à déballer et à savourer par
le regard. La chimie de nos combinaisons, bien que
maîtrisée, décide des couleurs, des saveurs de nos
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à contempler et ainsi à méditer ce que nous consommons.
La plasticité de cette collecte de matières et textures
remâchées est notre ingrédient principal. Les autres ne
sont que quelques lignes de programmation, centilitres
d’encre et grammes
de papier.